Handel – Passacaglia in G Minor, HWV 432 (Arr. Halvorsen) | Sonata Anderson, organ

Details

Description

Feel the monumental pulse of George Frideric Handel’s Passacaglia in G Minor (from Suite No. 7, HWV 432) in the electrifying arrangement by Johan Halvorsen, here re-imagined for solo organ by Sonata Anderson.
Why this piece is legendary:

: Baroque roots (1720): Handel built the Passacaglia on eight descending bass notes that repeat like the steady tread of fate.

: Romantic fireworks (1893): Norwegian composer-violinist Johan Halvorsen turned Handel’s modest keyboard movement into a virtuoso duel for violin and viola—doubling the drama with dazzling counterpoint.

: Cathedral power (2025): The organ unlocks a third dimension; pipes thunder and whisper, layering gothic sonorities onto Handel’s inexorable ground bass.

The music is paired with royalty-free footage of a stone canyon at golden hour. A silent river carves through dark rock, mirroring the Passacaglia’s unbroken bass line. Sunlight flickers across sheer walls, long shadows stretch over water, and every texture—striated cliffs, glinting eddies, resilient grasses—echoes the work’s blend of majesty and restraint.

Sonata Anderson observes:
“On the organ, Halvorsen’s Passacaglia feels like geology in motion—ancient strata shifting while light sings in the crevices.”

Press play, and let centuries of musical evolution resonate through stone, water, and air.

🇫🇷 Description en français

Ressentez la puissance monumentale de la Passacaille en sol mineur de Georg Friedrich Haendel (Suite n° 7, HWV 432), dans l’arrangement vertigineux de Johan Halvorsen, ici réinventée pour orgue solo par Sonata Anderson.
Pourquoi cette pièce est mythique

: Racines baroques (1720) : Haendel construit la passacaille sur huit notes de basse descendantes, battement implacable du destin.

: Virtuosité romantique (1893) : Le Norvégien Halvorsen transforme le mouvement initial en un duel éblouissant pour violon et alto.

: Puissance cathédrale (2025) : L’orgue ajoute une troisième dimension ; les tuyaux tonnent puis murmurent, superposant des couleurs gothiques à la basse obstinée de Haendel.

La musique dialogue avec des images libres de droits d’un canyon baigné de la lumière dorée du soir. Une rivière silencieuse sculpte la roche sombre, reflet de la basse continue. Le soleil caresse les parois, les ombres s’allongent, chaque détail—strates minérales, reflets scintillants, herbes tenaces—rappelle la noblesse et la retenue de la passacaille.

Selon Sonata Anderson :
« À l’orgue, la Passacaille d’Halvorsen ressemble à une géologie en mouvement—des strates anciennes qui glissent tandis que la lumière chante dans les failles. »

Appuyez sur lecture et laissez résonner trois siècles d’évolution musicale au cœur de la pierre, de l’eau et de l’air.